KAUTER “étameur” itinérant, Auvergnat
qui visitait les fermes pour vendre ses services, “beret”
d’étameur, ils allumaient un feu pour leurs opérations.
L’un des personnages de la mascarade souletine.
Comme /r/l/u/ peuvent se substituer : bsq /*GAR-/
/*CAL-/
de lat. caleō “être
chaud”, calor “chaleur”,
calidus et caldus,
irl. caot ; gr. καυτήρ
(kautḗr) “celui qui brûle”, plus usité “appareil
qui brûle”, s/καίω
(kaiō) “brûler” reposant sur *καϝ-ιω
(kaϝ-iō), cf. gr. καῦμα
(kaũma), Chtr. 481, qui avance comme racine i.-e. /*qēu-/*qəu-/*qū/
; M. 86 fait reposer lat. /cal-/ sur
/*ko
/ el-/... « une forme /*klē/
[thème
II] de la racine semble se trouver dans v. isl. hláer,
v.h.a. lāwēr “tiède”
». Cf. fr. encaustique, cautériser,
holocauste, chaud. Voir KISKA.
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