MIKO “miette, pincée, peu, petite partie” ![]() Cf. gr. dor. μικκος (mikkos), doublet thématique de μῑκρός (mīkrós) sous suffixe -ρο (-ro) avec gémination expressive de l’occlusive. Μίκυθος (míkuthos) et bsq. MIKITA “très petit bout”. Gr. μῑκρός/μικκος (mīkrós/mikkos) “petit en petite quantité, sans importance”. Cf. lat. mīca “parcelle, miette, grain”. Cf. la formation homologique XEHE “menu, simple” ![]() ![]() Correspondance hypothétique : gr. ποικίλος (poikílos) ![]() PIK-O, PIKA-TU, PIKARTA = “barriolé” ![]() EBAK-I ![]() ![]() ![]() Par rapport à la forme /*peik-/ le bsq. /PIK-/ serait une forme réduite thème II, mais la forme pleine apparaîtrait dans /E-PAI/, de plus le /k/ de /*peik-/ serait alors la trace d’une suffixation /-KA/ (?) itératif et thématisateur verbal /*(E)-PAIKA-LE/ ? Ainsi /*pik-/ [Chtr. 900, s/πικρός (pikrós)] ne serait pas une racine ? |
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