/*-K/ désinence
d’ergatif
![]() La similitude de l’ergatif i.-e. et bsq. ressort dans ce commentaire de MEILLET, 213, s/les démonstratifs hic, hæc, hoc(c) : « le démonstratif est au fond le même que celui qui, à l’état isolé, sans particule préposée et sans ce -ce postposé, sert d’anaphorique : -is, -ea, -id. Ce démonstratif [...] indique l’objet rapproché en indo-iranien. Le nominatif masculin /-i/ est identique à -is, qui a seulement en plus la désinence /-s/ ; la différence est la même que celle entre skr. sȧ = gr. /ὁ/ [ϝ/so] et skr. sȧḥ [bsq. ha-K?] = gr. /ὅ/ [ϝ/só]. » MEILLET était étranger à l’idée d’ergatif et donc il le décrit sans l’expliquer ou le définir, semble-t-il. Cf. datif singulier ombr. esmeI “huic” = “à celui-ci” [bsq. hun-I], cf. skr. asmaI “à celui-ci” [bsq. hun-I]. Cf. ablatif singulier osq. etse-u-k, ombr. ess-u [bsq. hun-eta-r-IK]. Cf. nominatif pluriel osq. ek-as [bsq. hauEk-] ek-as-k. Cf. accusatif pluriel féminin osq. ek-ass. Cf. bsq. HUN-E-K ![]() ![]() Meillet, 293 : « le –ce (-c) final est une particule enclitique postposée aux formes courtes telles que hi-, hod-, hum-, hui, etc., d’où hiC, hoc(C), hunC, huiC [...] » ![]() ![]() |
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