APAL/AP(H)AL : 1º “doux, humble”,
sens placé en premier par Azk. I, 51 ; 2º “faible,
sans force” ; 3º “bas”, sens placé
en premier par Lh. 48, ![]() Réputé dériver de lat. ad uallem (!)... ou fr. aval... d’après la troisième de nos acceptions, “bas”, qui pourrait n’être qu’un sens secondaire d’origine métaphorique. Cf. gr. ἁπαλος (ϝapalos) “tendre, délicat, mou”, Hom., ion., att., « pas d’étymologie » Chtr. 95. De plus la forme recouvrant ce signifié est I-BAR “vallée”, “le bas” ![]() ![]() Cf. gr. ἁπαλός (ϝapalós) “tendre, délicat, mou”, ἁπαλία (ϝapalía) “douceur” de l’air, απαλύνω (apalúnō) “attendrir, assouplir” ; porté « sans étymologie » Chtr. 95. Le digamma / ʽ/ suppose un phonème disparu : bsq. ZA-PAL “écrasé”, de /ZA/ à valeur de superlatif, pour gr. διά- (diá-), forme éolienne ζα- (za-), + /PAL/ “battre” (thème I) et ZAPLAZTA- “gifle” (thème II). Même structure que ZAPART- “éclater, disperser, exploser” ![]() |
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