ABAR : 1º) branches sèches ; la
langue moderne a tendance à confondre ABAR et ADAR
branches vives des arbres, arbustes, etc. (voir ce mot)
; 2º) résidus de bois de chauffage, exemple
OTABAR broutilles sèches dajoncs utilisées
pour allumer le four à pain encore dans les années 1950 ;
3º) résidus de charbon IKATZ-ABAR ;
4º) bûchettes. Évidemment, pour létymologie, on pensera à /BUR/ ![]() La voyelle initiale /a/ reste à expliquer : dans le verbe ABARRIKATU elle pourrait être un augment (cf. skr. a-bharat il a porté), et le subst. abar serait un déverbatif (cf. AHARDI truie litt. la porteuse ainsi dénommée à cause de sa prolificité ; dit aussi de tout porcin “femelle” par opposition à “mâle”, KOTXO). |
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